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DMLA: Marisol Touraine et Dossier Avastin/Lucentis

DMLA : Marisol Touraine s'empare du dossier Avastin/Lucentis
La ministre de la Santé Marisol Touraine s'empare du dossier relatif à l'utilisation de l'Avastin ® dans le cadre du traitement de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), suite à la polémique que son interdiction crée chez les ophtalmologues.
Ces derniers étaient furieux de la décision prise par la Direction Générale de la Santé (DGS) d'interdire son utilisation dans leur spécialité, au profit d'un autre produit 25 fois plus cher, le Lucentis !
A l'heure où la réduction des coûts est de rigueur, cette décision avait en effet de quoi surprendre.

La DMLA pourrait-elle enfin bénéficier d'un traitement 25 à 30 fois moins cher que le traitement de référence ?
La dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) est la première cause de malvoyance après 50 ans. Cette maladie dégénérative de la rétine bénéficie de plusieurs traitements capables de stopper ou de retarder la progression des lésions : la photocoagulation par laser, la photothérapie dynamique et les traitements anti-angiogéniques.

Le principal médicament utilisé dans ce cadre, le rabinizumab (Lucentis ®) développé par la firme Genentech et distribué en Europe par Novartis, est injecté une fois par mois pendant 3 mois consécutifs, puis en cas de besoin durant une phase de maintien au cours de laquelle l'acuité visuelle des patients sera contrôlée une fois par mois. Commercialisé aux États-Unis au prix de 2 000 dollars et en Europe au prix de 1 200 euros, il est le traitement de référence. Un autre anti-angiogénique Macugen ® commercialisé par Pfizer est disponible depuis 2006.
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Comment bien vieillir en 2012 et en bonne santé

Que font les seniors et les baby-boomers pour bien vieillir et rester en bonne santé ?
14/05/2012
Pour répondre à cette question, Seniosphère a mené une enquête en deux temps (en 2008 et en avril 2012), pilotée par l’institut LH2 .
Principal enseignement :

- se maintenir en bonne santé ne se limite plus à prendre ses médicaments et faire attention à son alimentation, c’est le bien être en général qui pilote leurs décisions.

Alors, quelles sont les pratiques des plus de 50 ans pour se maintenir en forme au quotidien ? Où placent-ils leurs priorités ? Quel est leur degré de motivation ? S’appuyant sur une approche à la fois quantitative et qualitative, Seniosphère vous livre les principaux résultats de son étude.

LES 4 CLES POUR RESTER EN BONNE SANTE
Lors du départ à la retraite, vieillir en bonne santé devient une priorité. Si l’espérance de vie est élevée en France, l’important c’est de rester en forme pour en profiter. La longévité repose à 30% sur le capital génétique, et pour 70% sur le style de vie .
Aujourd’hui, les plus de 50 ans prennent encore plus soin d’eux, mais leurs priorités ne sont pas toujours là où on les imagine.

L’étude a montré que les seniors et les Baby Boomers ont recours à des pratiques très variées et complémentaires pour rester en bonne santé.
Parmi celles-ci, 4 se distinguent, considérées par les personnes interrogées comme très importantes :

1. La famille et la socialisation : voir ses enfants et petits-enfants (81%), rester en contact avec ses amis et ses proches (79%), et moindrement rencontrer de nouvelles personnes de son âge (31%).

2. L’alimentation : manger diversifié et varier les aliments (77%), manger sain et équilibré (73%), se faire plaisir en mangeant (58%), et beaucoup moins manger peu (22%), ou encore consommer des produits allégés ou light (11%).

3. Les activités culturelles : avoir des activités, faire des sorties, s’adonner à la lecture (68%).

4. L’exercice physique : faire du sport, bouger (65%).

Viennent ensuite d’autres bonnes pratiques comme aller consulter régulièrement un médecin (41%) ou voyager (35%).

En 2008, l’alimentation était la première arme pour rester en bonne santé, en 2012 c’est la famille et la socialisation.


QUELQUES DIFFERENCES SELON LES PROFILS

Les différences par tranche d’âge : dans l’ensemble tous les âges sont convaincus par la pertinence d’une approche globale qui associe santé, socialisation, alimentation et activités. Cependant, dans les faits selon l’âge les comportements diffèrent: les 50-59 sont peu actifs, les plus de 60 ans sont plus mobilisés sur tous les fronts et pour les plus de 70 ans le recours au médecin devient très important

.▪ Les différences entre les deux sexes : si les femmes semblent plus impliquées en matière de socialisation et de vie familiale, d’alimentation ou encore d’activités, les hommes donnent une légère priorité aux voyages.

▪ Les différences entres les actifs et les retraités : entre 50 et 62 ans, les actifs se révèlent moins concernés et actifs que leurs aînés, sauf sur 3 aspects : consommer des produits allégés ou light, et plus faiblement se faire plaisir en mangeant et voir leurs enfants et petits-enfants.

▪ Les différences entre la région parisienne et la province : en région parisienne, les seniors favorisent une alimentation légère et frugale, le recours au médical, les activités et leur cercle de proches.
En province, ils tendent davantage vers une alimentation équilibrée, saine et diversifiée, ainsi que vers des liens étroits avec leur famille.

▪ Les différences entre les personnes seules et en couple : alors que les couples privilégient les relations, une bonne alimentation et les activités, les personnes seules ont plus souvent recours à la consultation médicale et aux médicaments.

CE QU’IL FAUT RETENIR

Globalement, depuis la 1re vague de l’étude réalisée en 2008, la motivation pour bien vieillir a nettement progressé. L’ensemble des plus de 50 ans a adopté une approche globale et un certain style de vie, avec des nuances en fonction de la tranche d’âge et du profil.
Cette philosophie, qui englobe de multiples dimensions, fait de l’individu le chef d’orchestre de son « bien vieillir ». Les pratiques sont de plus en plus nombreuses et complexes.

Face à toutes ces options, les plus de 50 ans ont besoin de conseils pour adopter la bonne stratégie. Une opportunité pour les marques qui en développant une offre plus globale peuvent mieux répondent aux attentes de la population vieillissante

« Depuis 6 ans, Seniosphère mène des missions de conseil marketing à 360° autour des seniors et des baby-boomers dans de nombreux secteurs d’activité », commente Sophie Schmitt, cofondatrice de Seniosphère.
« Aider les plus de 50 ans à bien vieillir et à rester en bonne santé ouvre des opportunités à de nombreuses entreprises, opportunités, souvent exploitées de façon trop limitée.
Au Japon ou aux Etats-Unis, par exemple, on assiste à l’émergence de nouveaux métiers pour accompagner ces populations. Souhaitons que la tendance se propage également en France ! »



Des défibrillateurs dans les gares et les TGV

14/06/2009
Bientôt, la SNCF installera des défibrillateurs dans les gares et les TGV.
Moins d’un an après avoir fait preuve d’une gestion malheureuse d’un accident cardiaque dans un TGV Est, la SNCF annonce l’installation de défibrillateurs dans les gares et les trains à grande vitesse.
C’était une promesse de Guillaume Pépy, alors président de la SNCF, pendant l’opération Train du cœur.
L’opération, intitulée « Défibril’ à cœur », sera lancée le 19 juin. À cette occasion, les bénévoles de la Croix-Rouge française proposeront des initiations au défibrillateur pour le grand public de 10 h à 19 h, dans une quinzaine de gares.
Ce sera le cas à Paris, à la gare Montparnasse, gare de Lyon, gare de l’Est, gare du Nord, gare Saint-Lazare.
En province, à Lille Flandres, Amiens, Rouen, Rennes, Dijon, Lyon Perrache, Marseille, Strasbourg, Metz et Reims.

Le déploiement des défibrillateurs automatiques sera effectif le 19 juin 2009 dans 24 gares, puis se poursuivra par l’équipement des 150 plus grandes gares françaises d’ici la fin juillet 2009.
Les personnels SNCF en contact avec le public seront formés.
En septembre, une expérimentation de défibrillateurs à bord des rames du TGV Est sera entreprise avant un déploiement à bord de tous les TGV d’ici le début 2010.
Les 250 sièges sociaux et établissements de la SNCF seront aussi équipés.
Source: www.secourisme.net



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Sida chez les 50 ans et plus

5/03/2009
Le viagra et les relations sexuelles non protégées semblent être la cause du nombre "étonnamment élevé" d’infections par le sida chez les 50 ans et plus, selon une étude publiée par l’Organisation mondiale de la santé.
Au-delà d’un certain âge, il semble que l’usage du préservatif n’aille plus de soi dans les relations sexuelles. Même si les auteurs de l’étude de l’OMS reconnaissent qu’il n’y a pas beaucoup d’études sur le sujet, ils voient se dessiner une tendance inquiétante.
Par exemple, aux Etats-Unis, la proportion des séniors est passée de 20 à 25% entre 2003 et 2006 parmi la totalité des séropositifs. Autre exemple au Brésil, le nombre de séropositif de plus de 50 ans a doublé entre 1996 et 2006, "bondissant de 7,5 à 15,7 cas pour 100.000 habitants".

Certes cela s’explique aussi par l’efficacité des traitements contre le sida qui permettent de vivre plus longtemps malgré la maladie. Mais les experts de l’OMS "soupçonnent aussi que beaucoup de personnes âgées infectées ont contracté le virus à un âge avancé". Par ailleurs le viagra tient aussi une part de responsabilité dans ces constatations puisqu’il permet de prolonger l’activité sexuelle. Mais c’est d’abord une question générationnelle : les séniors sont "moins enclins à avoir des rapports protégés".
Selon la revue de l’OMS, la "pénurie" d’informations s’explique en partie parce que les personnes de plus de 50 ans ne sont pas considérées comme une "catégorie à risques", le sida demeurant dans l’esprit des personnels de santé "une maladie de jeunes".
Au-delà de 65 ans, l’espérance de vie d’une personne infectée tombe à quatre ans, contre 13 ans pour une personne entre cinq et 14 ans.
Pour en savoir plus, Bulletin de l'OMS



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